Denise DESPLAN, sophrologue. Cabinet Sophro Immersions

Sophro Immersions 482 rue des mésanges, 77550 Moissy-Cramayel. Tel : 06 65 51 32 67

transition

Mon accompagnement : la souffrance au travail

Le 04/06/2025

Image accueil 1La vie est comme un livre : ne jamais sauter une ligne ni un chapitre (B.WERBER).

Ces derniers temps, j’ai discuté avec des personnes en reconversion, des adultes qui reprennent leurs études ou préparent un projet de transition.

J’ai pensé que la sophrologie servait surtout à aider les personnes en reconversion à surmonter le stress des examens, à se préparer pour l’après.
Mais ces derniers temps, en écoutant mes clients, j’ai compris autre chose :
Avant de penser à la suite, il faut déjà surmonter, voire survivre au présent."

Et ce que j’ai observé, c’est qu’au-delà du projet lui-même, une autre réalité existait :

- Un quotidien devenu pesant,
- Un travail qui ne fait plus sens, mais qu’il faut continuer.
- Des journées chargées,.
- La sensation d’être épuisé(e), mais de devoir encore "tenir", sans voir comment s’en sortir.

Alors j’ai pris le temps d’écouter, et de me recentrer sur ce qui me semblait urgent et nécessaire :

Aider celles et ceux qui, avant de pouvoir changer de vie, ont besoin de pouvoir souffler dans celle qu’ils subissent.

Mon accompagnement s’adresse à présent aux personnes qui tiennent dans un environnement de travail toxique par nécessité, mais qui sentent que ça ne pourra pas durer… et qui ont besoin d’aide pour désamorcer la pression et se préparer à l’après.

On ne quitte pas tout du jour au lendemain. Mais on peut commencer à reprendre son souffle dès maintenant.

P.S : Je continue bien sûr d’accompagner celles et ceux qui sont déjà dans un projet de reconversion… mais je veux aussi être là pour celles et ceux qui sont encore dans la tempête.

Si vous vous reconnaissez, je suis là pour en parler. Contactez-moi.

 #StressAuTravail #ÉpuisementProfessionnel #SantéMentale #PréserverSaSanté #JobToxique #BienÊtreAuTravail #Sophrologie #Reconversion

Photo de Birgit Böllinger

 

Désamorcer la pression du travail toxique par la sophrologie

Le 04/06/2025

Pexels pixabay 247852Pendant des années, j’ai été malmenée dans un environnement de travail, disons…compliqué.

"Chronologiquement parlant", j’ai connu le directeur-pervers-narcissique, l’équipe qui soutient ce manager, le départ semi-volontaire de ce ce manager, puis les projets-qu’on-stoppe-parce-qu’il-n’y-a plus-de-directeur, la deuxième directrice incompétente ou perdue? qui ne défend pas vos projets, puis quitte le navire, la réorganisation-qui-ralentit-tous-vos-projets, puis une troisième directrice dynamique et sympa au premier abord, qui se révèle épuisante et sourde aux doléances des équipes.

Et les confinements qui ont tout accentué…

Je vous raconte cela car je tenais à expliquer pourquoi je comprends ce que vous pouvez vivre. Et j’ai pu quitter cet environnement de travail toxique, mais certains de mes ex-collègues en souffrent encore.

Pendant cette période, j’ai “cherché la lumière” par moi-même, j’ai eu la chance de faire un bilan de compétences qui m’a sortie la tête de l’eau un temps, et qui m’a amené à une première reconversion…à moitié réussie (mais cela est une autre histoire).

- J’ai vécu l’épuisement, la maladie, et ce sont des déclencheurs qui m’ont fait découvrir la sophrologie dans un second temps.

A ce moment-là, je me suis fait accompagner par une sophrologue, j’ai démarré ma reconversion en sophrologie, tout en restant salariée. C’est aussi cet accompagnement, et cette reconversion qui m’ont fait tenir, qui m’ont soutenue, jusqu’à pouvoir quitter mon poste. 

C’est tout ce cheminement qui m’a fait réfléchir et m’amène à mon accompagnement actuel. J’ai digéré, analysé tout ce qui s’était passé, tout ce que j’avais subi.

Et c’est en raison d’autres moments délicats ou stressants que j’ai connus ces deux dernières années (déménager, rénover un logement, chasser la fatigue, combiner 2 métiers, écrire sur les réseaux, reprendre la conduite, chanter devant un public inconnu...), que j’ai pu mobiliser la sophrologie, que j’ai compris ce que cela apportait de puissant au quotidien. Ah si seulement j’avais eu la sophrologie dans le passé, me suis-je dit! C’est comme ça, c’est mon chemin. 

Car la sophrologie, il faut l’expérimenter pour bénéficier de ses bienfaits.

Rien de miraculeux en surface.

Je me suis ainsi spécialisée sur le sujet de la souffrance au travail parce que je l’ai vécu, et je suis convaincue qu’on a trop peu d’espaces pour souffler quand on est coincé dans un job qu’on ne peut pas quitter tout de suite.

J’ai décidé de créer cet espace.

Je cherche des personnes qui veulent avancer sur ce chemin. 

Si c’est votre cas, parlons-en.

Je suis Denise, sophrologue certifiée, et j’aide les salariés épuisés à tenir dans un environnement de travail toxique, en désamorçant la pression grâce à la sophrologie, le temps de préparer l’après.

#Stress #ClartéMentale #Sophrologie #Reconversion #ÉpuisementProfessionnel #SouffranceAuTravail

 

Sophrologue/Archiviste, Archiviste/Sophrologue

Le 03/09/2024

Avatar zen2J’ai un profil sur les réseaux sociaux en tant que manager de l’information,

et un profil en tant que sophrologue.

Car j’ai décidé de “cumuler” deux métiers, celui d’archiviste et de sophrologue.

On parle communément de side-business, ou de side-project (“projet sur le côté”), je préfère le terme de slasheuse. Selon Indeed, un slasheur “désigne une personne en mesure d'exercer plusieurs activités professionnelles simultanément. Cet anglicisme vient du signe typographique slash, c'est-à-dire la barre oblique "/" utilisée pour séparer différents items”. C’est un terme qui me correspond bien.

Et j’ai eu la chance de faire une rencontre, spéciale, à 15 ans. Lors d’un carrefour des métiers, j’ai rencontré une archiviste : je me souviens encore de cet entretien passionnant, suivi d’une visite au sein du service d’archives municipales  l’été suivant. Puis j’entre au lycée et je continue à chercher ma voie.

Depuis mon enfance, j’aime bien l’histoire et je poursuis mes études dans ce domaine à la fac. Je comprends assez vite que je voudrais être au plus près des sources de l’histoire. Tout naturellement, l’idée de devenir archiviste apparaît à nouveau comme une évidence pour moi. J’aurais de belles opportunités dans ce métier et des. expériences multiples : des postes d’archiviste, chef de projet, gestionnaire de l’information, et de responsable de pôle archives. Préserver les documents d'un organisme requiert patience, persévérance et pédagogie. C'est un métier exigeant, dans une optique, entre autres, de conserver les documents pour la postérité. Transmettre est un enjeu, à ne jamais perdre de vue.

Arrive un point où j’ai le sentiment d’avoir fait le tour de mon métier. Je mène donc un bilan de compétences avec un psychologue du travail et le besoin de transmettre ressort dans ce bilan très fortement : je deviendrais ingénieur pédagogique. Je m'épanouis littéralement pendant ces études, intenses et enrichissantes, menées, là encore, en parallèle de mon poste d'archiviste. Quand j’ai mon master en 2019, je suis hésitante à l’idée de changer de métier, j’en perçois déjà les forces…et les inconvénients. Et je me rends compte que je n’ai pas du tout envie de choisir entre deux métiers. Je comprends donc que j’ai réalisé une sorte de transition : la formation m’a apporté des nouvelles compétences, un second souffle et je les utiliserais d’ailleurs dans mon métier d’archiviste. Manager/Archiviste/Chef de projet/Ingénieur pédagogique : voici comment je me considère en 2019.

La pandémie surgit. 

J’entends les souffrances engendrées par la pandémie chez la jeune génération, les problématiques de santé mentale. Je perçois que j’ai besoin d’un autre métier avec des impacts différents, plus concrets, auprès des jeunes. La relation d'aide m’interpelle. Je vais donc me former au métier de sophrologue. J’analyse également, pendant la formation de sophrologie, que j'utiliserai l’ensemble de mes compétences engrangées au fil des années. Le fil conducteur persiste : la transmission, cette fois-ci dans un nouveau domaine.

Manager/Archiviste/Chef de projet/Ingénieur pédagogique/Sophrologue, voici comment je me définis en 2024!

“Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends”. Nelson Mandela